"J’ai fait mes calculs. Chez moi, deux points de protéine gagnés par les fourrages c’est 9 000 € de coût de concentré économisé chaque année. De quoi amortir le surcoût engendré par la construction d’un séchoir à 90 000 € et ses outils. L’investissement est en cours. Le séchage en grange sera opérationnel au printemps 2014." C'est Nicolas Guittard, au Gaec du midi dans le Puy-de-Dôme, en AOP Saint Nectaire qui témoigne.

"Le retour sur investissement est automatique. Les études du Segrafo annoncent un gain moyen de 4 ou 5 points de protéine pour le fourrage séché en grange par rapport au séchage au sol. Même si on ne gagne que deux points, le compte est déjà bon, et j’ai de la marge."

Retrouvez l'intégralité de ce témoignage dans votre magazine de décembre 2013 p 32, via les archives de PLM (Accès réservé aux abonnés PLM)

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