Séparation du lait. Il suffit d’accrocher un bidon de lait sur un des crochets situé sous la plate-forme.

Certaines vaches gardent la tête baissée pendant la traite. Conséquence, elles sont plus reculées et les mamelles frottent parfois à la lisse arrière. Heureusement, cela n’abîme pas les mamelles.

Une chaîne pour que la vache fasse un deuxième tour de roto. Simple et efficace sauf que certaines vaches s’habituent à ne pas reculer à la sortie du roto.

Compteur à lait et échantillonneurs à lait homologués pour le contrôle de performance. L’appareil en haut de l’image est un indicateur de taux cellulaire.

Les éleveurs pratiquent eux même le contrôle de performance. «Sur deux traites, soir et matin », c’est facile à faire, il faut juste ralentir un peu la vitesse du roto » explique Samuel Sagory.

Attention au jet d’eau. Pour inciter les vaches à sortir du roto, les éleveurs ont opté pour un jet d’eau à déclenchement automatique.

Galet d’entraînement de la plate-forme. Il faut penser à vérifier la tension des ressorts, pour que les galets appuient bien contre la structure.

Plancher en kit. La plate-forme du roto est arrivée en kit. Une équipe de monteurs spécialisés (Blom BV aux Pays-Bas) vient assembler les différents éléments, béton et acier.

Dac. 4 places au total sous ce bâtiment. Les stations ont pris la place des logettes.

Fil électrique. Pour empêcher l’accès aux logettes dans le couloir qui sert de parc d’attente.

Certains aiment, d’autre pas. Avoir de l’électricité sous le bâtiment est un choix qui se défend. Pour ma part, j’ai trouvé les animaux très calmes sur cet élevage, malgré le chien électrique.

Cases de séparation. Il y a quatre boxes accessibles depuis la porte de sélection automatique. Les éleveurs sont ravis de cet investissement qui facilite la manipulation des animaux

Logettes modèle « Relax » chez Jourdain. Normalement, il n’y a pas d’espace entre les deux barres (au centre), car ce type de logette n’est fixé que sur seul et unique barre centrale. Ici, les éleveurs ont du s’adapter car le socle béton prévu pour des logettes a été fait 20 cm trop large.

Caillebotis. Pour séparer le lisier du fumier. Avec le recul, les éleveurs auraient préférés avoir des caillebotis dans le sens de la longueur, pour que le lisier s’écoule plus facilement.

Fumière couverte. 728 m² pour la fumière. Contrairement au bâtiment VL, la structure est en acier.

Caméra 360°. Reliée à Internet, c’est pratique pour surveiller à distance car le bâtiment a été construit à l’écart du corps de ferme.

Nurserie. Facile à curer avec une marche en béton de 30 cm et des portails pour bloquer les génisses. Seul bémol, le long des cornadis, le quai bétonné un peu trop long. Ici 2 m, mais 1,50 m aurait été suffisant.

La nurserie est collée au bâtiment VL avec un accès direct du roto par la porte au fond à gauche. Lumineuse, cette nurserie dispose d’un volume d’air très voir trop important.

Une prise extérieure pour brancher le générateur en cas de coupure de courant.

Vue extérieure du bâtiment. Situé à proximité du Mont Bel-Air, point culminant des Côtes d’Armor, le vent souffle régulièrement et les éleveurs ont préféré mettre du bardage claire-voie qu’à partir de 2 m pour limiter les courants d’air, dans le bâtiment.

Vue 3D du bâtiment, pour mieux vous rendre compte de l’aménagement. Il manque juste la fumière sur cette infographie.