Lanteneau central. Typique ici, l'ouverture de 80 cm au centre du bâtiment permet une bonne circulation de l'air. Seul problème, la pluie entre facilement.

Logettes creuses remplies de sable.

Extention du bâtiment récente.

Filet tout simple. Enroulement mécanique.

Autre exemple de filet. Agé de 10 ans il commence à se déchirer

Bâtiment assez ouvert pour les génisses. Un mur de balles de fanes de maïs protège du vent.

Logettes sur sable pour les génisses aussi. La disposition est simple mais peu pratique pour le raclage.

Les génisses s'adaptent très vite au sable et aux logettes.

Le Skid-steer, il racle partout et sert tous les jours.

Une salle de traite 2x8 équipée 2x6. Simple, propre et éfficace pour 80 vaches aujourd'hui et pourquoi pas 200 dans quesques années.

Mini caillebotis pour évacuer les bouses pendant la traite.

Prise de température pendant la traite. Sur l'élevage Pieper, toutes les fraîches vêleés sont contrôlées pendant 10 jours.

En hiver, les veaux ne disposent pas de parc dehors. Le grillage est posé directement contre les cases.

Une nurserie pour les veaux de 0 à 3 semaines.

Voici le logement des génisses sur un élevage de 700 vaches. Température extérieure : -15 °C

Pas de pailleuse ici. Les balles de maïs sont étalées avec le chargeur.

Une case de vêlage toute neuve. L'éleveur à intégré un cage de contention et une prise de vide pour traire la vache sur place.

L'élevage des génisses en plein air, une pratique courante. Il faut juste prévoir un abreuvoir résistant au froid.

Une petite usine d'aliment. Typique dans le Minnesota, ces structures, achetent les matières premières et les mélanges pour les éleveurs.

L'intérieur d'une mini usine. Simple, sans automatismes, sans grandes protections pour les salariés. Il n'y a pas de miracles pour réussir à maintenir les coûts.

Franck Gaudin prend un échantillon dans la luzerne enurbannée.

Silo de maïs BMR. Le front d'attaque se détache plus facilement en raison de la faible teneur en lignine du maïs

Le maïs BMR parait plus humide, mais il est bien à 34 % de maitières sèches.

Pour parcourir plus de 100 000 km par an, Franck a choisi une mazda 6. En hiver, avec des pneux adaptés, ça tient mieux la route qu'un pick-up.