Le SML, un robot neo-zélandais pour les rotos

Le SML, un robot neo-zélandais pour les rotos

  • Le robot actuellement en test sur une plate-forme 80 postes extérieure Waikato.

  • L'innovation est d'avoir créé un bras robotisé qui puisse s'adapter sur toutes les plateformes de traite extérieures.

  • La "main du robot". Elle fonctionne avec huit doigts. L’automate saisit la griffe, la retourne et attache les gobelets.

  • Pour l’heure, le robot SML branche, en moyenne, une vache en 15 secondes. De 12 à 22 secondes, selon la situation. Pour comparer, les meilleurs trayeurs n'ont besoin que de 7 secondes.

  • Le bras du robot est un bras industriel du japonais Fanuc. La société Scott Milktech va bientôt tester le bras du néerlandais Kuka qui pourrait faire gagner 2 à 3 secondes par vache.

  • Pour faciliter la prise par le robot, les manchons doivent être positionnés tête en bas. L’automate saisit la griffe, la retourne et attache les gobelets. La détection est assurée par une caméra 3 D du suisse Mesa.

  • L’objectif n’est pas de remplacer l’humain, mais de le seconder. Le robot assure la pose du faisceau mais ne repère pas les vaches malades et ne réalise aucun lavage.Il réduit la pénibilité et le stress. Dans beaucoup d’élevages kiwis, la cadence est de 300 vaches à l’heure, à deux trayeurs. Avec un robot, une personne seule pourra superviser la traite et d’intervenir ponctuellement, par exemple, après un décrochage prématuré.

  • Chris Hopkins, directeur de Scott Milktech parle d'une commercialisation du SML fin 2014.

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